Notre équipe

La mélodie du Débat sur la liberté d’expression

L’équipe du Débat sur la liberté d’expression s’est réunie autour d’un micro pour tenter de créer une « ola pour la liberté d’expression » lors d’une réunion en milieu d’année. En commençant par l’ourdou et en terminant par le perse, nous avons récité les principes deux et trois sous forme de canon chacun dans sa langue maternelle. Essayez de deviner les autres langues en écoutant la bande sonore ici.

Équipe exécutive

Timothy Garton Ash, directeur

Timothy Garton Ash est le directeur du Programme Dahrendorf pour l’étude de la liberté et du Débat sur la liberté d’expression. Il est professeur d’études européennes à l’Université d’Oxford, détenteur de la chair Isaiah Berlin au St Antony’s College et chargé de recherche à la Hoover Institution de l’Université de Stanford.

Dorian Singh, directrice de recherches

Dorian Singh est la directrice de recherches du Programme Dahrendorf pour l’étude de la liberté d’expression et elle assiste le directeur du Débat sur la liberté d’expression. Elle est détentrice d’un doctorat en politiques sociales de l’Université d’Oxford, et elle étudie les réformes de santé dans les pays de l’ex-union soviétique.

Michael Patefield, éditeur en ligne

Michael Patefield est l’éditeur en ligne du Débat sur la liberté d’expression. Il étudie la Russie et l’Europe de l’est pour sa maîtrise à l’Université d’Oxford, St Antony’s College. Sa recherche se concentre sur la politique économique russe sous Vladimir Putin.

Sebastian Huempfer, rédacteur associé

Sebastian Huempfer termine actuellement son doctorat en histoire économique à Oxford. Il s’intéresse en particulier à la relation entre liberté d’expression et pouvoirs politiques et économiques, au problème du discours de haine et aux normes concernant la liberté d’expression en Allemagne.

Sarah Glatte, rédactrice associée

Sarah Glatte est rédactrice associée du Débat sur la liberté d’expression du Programme Dahrendorf. Elle a récemment obtenu son doctorat en politique à Oxford. Sa recherche porte entre autres sur la participation politique, les questions de genre et la liberté d’expression.

Max Harris, éditeur associé

Max Harris est chargé d’examen au All Souls College. Il a des maîtrises en droit et en politique publique, et s’intéresse particulièrement au rôle de l’état et des droits de l’Homme.

Patrick Quinton-Brown, rédacteur associé

Patrick Quinton-Brown est étudiant de maîtrise en relations internationales à l’Université d’Oxford, où il étudie en tant que chercheur détenteur de la bourse John A. Moss. Il gère l’édition de la revue St Antony’s International.

Emre Caliskan, éditeur, promotion social

Emre Caliskan effectue son doctorat en relations internationales au St Antony’s College. Il a précédemment travaillé pour BBC Turquie, la chaîne publique turque TRT et le journal Cumhuriyet. Il est également co-auteur de The New Turkey and its Discontents (La nouvelle Turquie et ses mécontentements), qui sera publié par Hurst dans quelques mois.

Neil Dullaghan, éditeur, promotion social

Neil Dullaghan est étudiant de maîtrise en politiques européennes et sociales au Mansfield College d’Oxford. Il a précédemment obtenu un baccalauréat universitaire en relations internationales. Il a travaillé avec la International Coalition for the Responsibility to Protect, l’Université des Nations Unies, et Castleford Media.

Kimb Jones, conception et développement du site internet

Kimb construit des sites internet depuis les années 1990 et il est le co-fondateur de l’agence modèle et développement ‘Make Do’ WordPress. Précédemment, il a travaillé en tant que gestionnaire numérique dans le département de communication et marketing de la NHS et il travaille avec la plate-forme WordPress depuis 2005.

Traducteurs et hôtes

Maroussia Bednarkiewicz a une maîtrise en traduction de l’Université de Genève et une maîtrise en sciences islamiques et histoire de l’Université d’Oxford. Elle travaille actuellement comme traductrice indépendante, ainsi que sur son projet doctoral où elle analyse les mécanismes sociaux, politiques et légaux à travers lesquels certaines populations ont adopté l’islam tout en préservant leurs anciennes traditions après la Conquête arabe.

Laura Bernal Bermúdez est une avocate colombienne. Elle a obtenu sa maîtrise en droits de l’Homme au Département de sociologie de la LSE et elle est actuellement dans sa deuxième année de doctorat au département de sociologie de l’Université d’Oxford, où elle travaille sur les solutions aux problèmes de violation des droits de l’Homme en Colombie.

Udit Bhatia est doctorante en théories politiques, elle travaille sur les manières dont l’éducation est utilisée pour ôter à certains leur citoyenneté démocratique.

Andreia Carmo étudie l’Amérique latine pour sa maîtrise et elle a récemment été acceptée comme doctorante au King’s College de Londres. Elle s’intéresse en particulier à la corruption. Elle a également effectué plusieurs travaux de traduction, tels que la traduction, en Portugais, de Vindication of Rights of Women, par Mary Wollstonecraft.

Fouzia Farooq est historienne de l’Inde médiévale, elle effectue un post-doctorat au Oxford Centre for Islamic Studies. Elle est maître de conférence à l’Université Quaid-i-Azam d’Islamabad. Son livre, Muslim Rule in India: Power and Religion in the Dehli Sultanate sera publié en juin 2016 par I. B. Tauris, Londres.

Max Gallien est doctorant à la LSE. Sa recherche porte sur l’économie politique des échanges illégaux en Afrique du Nord.

Saba Halepota

Nada Helal effectue une maîtrise en anthropologie sociale où elle s’intéresse à l’éducation, la migration et la politique. Elle se concentre en particulier sur le Moyen Orient, et surtout l’Egypte, son pays d’origine.

Jalal Imran est doctorant en politique, il étudie les mouvements sociaux et la violence collective, avec un intérêt particulier pour le Moyen Orient. Il oriente également sa recherche vers la compréhension de l’extrémisme à travers différents arrangements culturels et politiques, et ses implications sur la praxis politique et intellectuelle.

Maryhen Jiménez Morales est doctorante au département de sciences politique et relations internationales de l’Université d’Oxford. Sa recherche porte sur les partis d’opposition sous les régimes autoritaires électoraux en Amérique latine. Elle a une maîtrise en études latino-américaines au St Antony’s College, Oxford. Elle a un baccalauréat universitaire en sciences politiques de la Goethe University Frankfurt et elle a travaillé pour la coopération au développement allemande, la Cour des droits de l’Homme inter-américaine et la division Americas de Human Rights Watch à Washington DC.

Danish Khan effectue un doctorat en histoire et contribue à différents médias en Inde.

Zaha Kheir est née en Allemagne et a été éduquée en Espagne, où elle a obtenu son baccalauréat et sa maîtresse universitaires en sciences politiques et administration en 2010. Une fois ses études terminées, elle a créée sa propre compagnie de traduction à Francfort, Allemagne, spécialisée dans la traduction médicale et les services de transcriptions bilingues. Zaha est traductrice assermentée allemand-anglais et allemand-espagnol par la Chambre de commerce allemande (IHK). En 2014, elle est retournée à ses activités académiques en se lançant dans un doctorat en politiques au St Antony’s College d’Oxford. Sa thèse porte sur la dynamique politique de la Palestine et du Liban sous mandat.

Kimiko Kuga est doctorante au département de politique et de relations internationales à l’Université d’Oxford. Elle se concentre actuellement sur les cas de trafic humain au Japon.

Ana Martins se spécialise dans la théorie politique à l’institut pour les études politiques de l’Université catholique portugaise de Lisbonne. Elle a effectué un échange au St Antony’s College d’Oxford. Elle a une formation en droit et en journalisme.

Mujahid Muhammad est doctorant au département de chimie organique à l’Université d’Oxford. Il travaille sur la synthèse totale des composés naturels biologiquement actifs.

Kaya Nagayo est une étudiante japonaise qui étudie le russe et l’Europe de l’est. Elle aime voyager, jouer du piano, du violon, faire de la photo, assister à des concerts et des pièces de théâtres, et visiter des musées.

Nikhil Pandhi est un chercheur détenteur d’une bourse Rhodes (2014) originaire d’Inde et actuellement étudiant en maîtrise à l’école d’archéologie. Ses intérêts variés s’expriment dans ses écrits qui couvrent des thèmes aussi vastes que l’histoire, la politique, la culture, les lois, l’héritage humain et tout ce qui attire son attention.

Monica Richter est étudiante de maîtrise en politique européenne au St Antony’s College, elle travaille en particulier sur la politique étrangère européenne et le partenariat stratégique entre l’UE et la Russie. Elle a obtenu son baccalauréat universitaire en relations internationales et philosophie à l’Université de St Andrews.

Suzanne Robin a obtenu une maîtrise en sociologie au St Antony’s College, Oxford. Elle s’intéresse à l’étude de genres, des jeunes et des mouvements sociaux dans les démocraties occidentales. Auparavant, elle a étudié la philosophie et les lettres à la Sorbonne, Paris IV.

Dana Palatin-Reuben est doctorante au nouveau centre de l’Université d’Oxford pour la formation doctorale en cyber-sécurité; elle est basée au Internet Institute d’Oxford. Elle s’intéresse dans sa recherche à l’influence des révélations de Snowden sur l’architecture d’internet et la souveraineté des données dans les pays développés.

Maja Sojref est étudiante de maîtrise en études du Moyen Orient moderne au St Cross College, Oxford. Elle est particulièrement intéressée par l’histoire sociale et culturelle et elle a travaillé avec des O.N.G. de droits civiques en Israël/Palestine.

Yury Sorochkin

Hande Yalnizoglu est étudiante de maîtrise en études du Moyen Orient moderne au St Antony’s College. Son travail de mémoire porte sur la modernité ottomane à travers l’analyse de journaux ottomans publiés à Baghdad en 1869. Elle s’intéresse également aux mouvements islamistes, aux transitions culturelles au Moyen Orient, et à la question Kurde en Turquie.

Durant nos trois premières années

Maryam Omidi a été notre éditeur en ligne en 2011-2012. Avant de rejoindre le Débat sur la liberté d’expression, elle a travaillé au Financial News, un magazine appartenant au Dow Jones et pour lequel elle était journaliste en ligne. Auparavant, elle a travaillé aux Maldives comme rédactrice pour le Minivan(Independent)News et en tant que journaliste pour Reuters.

Judith Bruhn a été notre éditeur en ligne 2012-2015. Auparavant, elle a effectué une maîtrise en études chinoises modernes au St Antony’s College, Oxford, et a obtenu une maîtrise en relations internationales à l’Université de St Andrews.

Brian Pellot, a été éditeur en ligne pour le Débat sur la liberté d’expression. Il a étudié le journalisme à l’Université du Missouri et le Moyen Orient moderne au St Antony’s College, Oxford. Brian est un journaliste multimédia qui s’est spécialisé sur la cyberpolitique, les médias de masse et les questions de genre dans les pays arabes du Golfe.

Jeffrey Howard (droit) était doctorant en théories politiques au Nuffield College, Oxford. Sa dissertation développe une théorie des relations morales entre ceux qui soutiennent les principes de la démocratie libérale et ceux qui ne le font pas. Il a mis en place le séminaire de théories politiques de Nuffield, il enseigne la philosophie politique aux étudiants de baccalauréat à Oxford, et il travaille en tant que chercheur à Counterpoint, une entreprise d’analyse de risques basées à Londres qui est à la fois un groupe de réflexion.

Graham Reynolds (propriété intellectuelle) était un professeur auxiliaire à la faculté de droit de la Dalhousie University Schulich de Halifax, au Canada, où il enseigne et fait de la recherche dans le domaine des droit de la propriété intellectuelle, de la propriété, et du droit d’auteur. Graham a pris un congé sabbatique pour faire un doctorat en droit au St Peter’s College d’Oxford. Sa thèse porte sur l’intersection entre liberté d’expression et droit d’auteur.

Naoko Hosokawa a étudié la socio-linguistique au Hertford College d’Oxford. Elle a précédemment étudié les relations internationales et la Science politique.

İrem Kök a été doctorante en géographie et environnement au Brasenose College d’Oxford. Avant de s’installer en Angleterre, elle a obtenu un baccalauréat et une maîtrise universitaires en philosophie, économie et sciences politiques en Turquie et aux États-Unis.

Fatemeh Shams était doctorante au Wadham College d’Oxford. Sa thèse porte sur la transformation de l’idéologie post-révolutionnaire dans la poésie persane. Elle est poète et blogger, et a été activiste politique dans le mouvement d’étudiants iraniens ainsi que co-rédactrice pour de nombreux sites internet d’opposition après l’élection présidentielle de 2009. Elle vit en exil depuis lors.

Hebatalla Taha a étudié le Moyen Orient moderne pour sa maîtrise au St Cross College d’Oxford. Elle se concentre sur l’islam politique et le féminisme islamique dans le monde arabe. Elle a précédemment obtenu son baccalauréat universitaire dans le domaine des affaires internationales au Moyen Orient et du développement international.

Funda Üstek était doctorante en sociologie au St Cross College, Oxford. Auparavant, elle avait obtenu une maîtrise en politique sociale comparative à Oxford et un double baccalauréat universitaire (mention) en sciences politiques, relations internationales et philosophie à l’Université Boğaziçi, en Turquie.

Maximilien von Berg était étudiant de maîtrise en politiques (études comparatives de gouvernements) au St Cross College d’Oxford. Il a un baccalauréat universitaire en relations internationales (première mention) et a travaillé au Moyen Orient. Sa thèse porte sur l’étude de l’évolution de la dette publique dans les pays de l’OCDE. Max a été champion du monde de triathlon et il est membre du First VIII boat d’aviron au Wolfson College.

Felipe Botelho Correa était doctorant en langues modernes, et travaillait sur la littérature brésilienne au Wolfson College d’Oxford. En 2009 il a publié Imaginário de modo: imprensa e violência urbana (en portugais), en utilisant les résultats de sa thèse de maîtrise pour analyser les médias et la violence urbaine au Brésil.

Melis Evcimik effectuait sa première année de doctorat au St Antony’s College d’Oxford. Elle travaille sur la politique étrangère contemporaine du Moyen Orient et s’intéresse particulièrement au rôle de la Turquie au Moyen Orient. Elle a obtenu son baccalauréat et sa maîtrise universitaires à l’Université de Princeton au département de politiques et études du Proche Orient.

Maria Luiza Gatto a été doctorante en politiques et membre du St Antony’s College d’Oxford. Elle étudie les institutions politiques et la représentation politique des femmes en Amérique latine. Elle a obtenu sa maîtrise en politiques (2012) au Corpus Christi College de l’Université d’Oxford et son baccalauréat avec mention (2011) au Barnard College de l’Université Columbia.

Kim Wilkinson était rédactrice associée du Débat sur la liberté d’expression et elle a étudié au Wolfson College d’Oxford où elle a obtenu sa maîtrise en études du Moyen Orient moderne.

Heba Al-Adawy a étudié le Moyen Orient moderne au Trinity College d’Oxford. Elle s’est spécialisée auparavant dans l’histoire intellectuelle européenne, en particulier, la question de la religion et la souveraineté dans la pensée politique occidentale.

Jacob Amis a étudié le Moyen Orient moderne au St Antony’s College d’Oxford. Sa recherche porte sur les stratégies politiques des mouvements islamistes non-violents. De 2009 à 2010, Jacob était chercheur en politique étrangère et en sécurité au Policy Exchange. Il détient un baccalauréat universitaire (pour lequel il a été primé) en histoire ancienne et moderne de l’Université d’Oxford et il a étudié l’arabe en Egypte, en Jordanie, à Oman et en Syrie.

Sanchita Bakshi a fait des études en développement au St Antony’s College d’Oxford.

Ruth Costas a étudié l’Amérique latine au St Antony’s College d’Oxford. Elle a obtenus son baccalauréat universitaire en relations internationales à PUC et en journalisme à USP, au Brésil. Avant de venir à Oxford, elle a travaillé pendant sept ans en tant que journaliste au Brésil.

Katie Engelhart a étudié l’histoire moderne au St Antony’s College d’Oxford. Auparavant, elle était journaliste à Toronto.

Katherine Bruce-Lockhart étudiait l’Afrique pour sa maîtrise au St Antony’s College. Elle a travaillé en tant que journaliste au Canada et en Afrique australe, elle a fait de la recherche et de la programmation avec des organisations non gouvernementales en travaillant sur la question de la liberté d’expression en Namibie, au Népal et au Canada.

Bassam Gergi a fait des études comparatives de gouvernement pour sa maîtrise au St Antony’s College. Il est chercheur au sein du Programme Dahrendorf et s’intéresse à la détérioration publique de la politique noire contemporaine et aux raisons du silence de l’Amérique noire face aux défis qui se dressent devant elle.

Rory McCarthy était doctorant en études orientales au St Antony’s College d’Oxford. Il était précédemment le correspondant du Guardian au Moyen-Orient.

Amy Qin a étudié la politique (études comparatives de gouvernements) au St Antony’s College d’Oxford. Sa recherche portait sur les relations entre l’État et la société en Chine, et en particulier à l’influence d’internet sur la politique chinoise.

Maximilian Ruhenstroth-Bauer a étudié la politique et la société européennes au Lady Margaret Hall d’Oxford et il a obtenu sa maîtrise en juillet 2012.

Casey Selwyn a étudié les relations internationales, en se concentrant sur les partenariats de la santé publique et privée, au St Antony’s College d’Oxford. Casey a fait un baccalauréat en histoire à l’Université de New York, et a travaillé en tant que assistante chercheuse avant de venir à Oxford.

Louise Fang a été chercheuse invitée à la faculté d’anglais d’Oxford. Elle actuellement affiliée à la Maison Française et fait une maîtrise en littérature anglaise.

Clementine de Montjoye étudiait pour une maîtrise en langues modernes au Worcester College d’Oxford. Avant de venir à Oxford, elle a fait un baccalauréat universitaire en littérature comparée au King’s College de Londres. Ses études portent à présent sur la littérature postcoloniale hispanique et anglophone.

Marina Pérez de Arcos a étudié les relations internationales St Antony’s College d’Oxford. Sa thèse de baccalauréat portait sur les politiques sociales à Medellín, en Colombie. Marina travaille pour les Gouvernements français et espagnol.

Sundas Ali (Pakistan) effectuait un doctorat en sociologie au Nuffield College d’Oxford. Sa recherche portait sur l’identité nationale et le sentiment d’appartenance. Elle s’était précédemment formée en relations internationales (maîtrise) et en sciences économiques et économétrie (baccalauréat) à l’Université de Bristol.

Annabelle Chapman étudiait le russe et l’Europe de l’est au St Antony’s College d’Oxford. Elle s’intlresse à la politique de l’Union européenne envers ses voisins orientaux.

Andrew Clark a étudié le Moyen Orient moderne au St Antony’s College d’Oxford. Il se concentrait sur la politique arabe et les mouvements islamiques, surtout en Egypte, mais il s’intéresse aussi et l’histoire et l’économie du Moyen Orient.

Rutger Kaput était doctorant en théories politiques au St Antony’s College d’Oxford. Sa thèse porte sur la façon dont l’évolution des expériences de temps social affecte la politique.

Matthias Battis était doctorant en histoire au Wolfson College d’Oxford. Il a précédemment étudié à l’Université européenne Viadrina pour son baccalauréat en sciences culturelles, et a étudié le russe et l’Europe de l’est pour sa maîtrise obtenue en 2011 à Oxford.

Dr Olga Shvarova était un consultant associée au Isis Innovation, Oxford University Science aside; Olga est écrivaine, traductrice et photographe.

Nadira Khudayberdieva (Russie) faisait une maîtrise en gouvernance mondiale et diplomatie au St Antony’s College d’Oxford. Elle s’est intéressée particulièrement à la prévention des conflit éthiques et aux problèmes liés aux droits de l’Homme, et elle espère établir sa carrières dans ces domaines.

Josh Black étudiait pour sa maîtrise le russe et l’Europe de l’est au St Antony’s College d’Oxford. Méticuleux jusqu’aux points-virgules, il est blogger dans son temps libre et rêve de parcourir le monde.

Manav Bhushan était dans sa deuxième année de doctorat au St Cross College d’Oxford. Il a également travaillé sur des modèles mathématiques pour un projet de recherche sur le cancer.

Dominic James Burbidge (religion) était doctorant en politiques au Oriel College d’Oxford. Sa thèse porte sur la confiance interpersonnelle au Kenya et en Tanzanie et discute du capital social en tant qu’ancien concept de vertu. Dominic était l’un des premiers chercheurs du Programme Dahrendorf du St Antony’s College en 2009 et il étudie actuellement l’économie politique en tant que chercheur bénéficiaire de la bourse Herbert and Ilse Frankel Memorial au Oriel College. Dominic a appris le swahili au Kenya et en Tanzanie et il est conseiller pour le centre de gouvernement de Strathmore à Nairobi, Kenya. Il travaille avec des orphelins du SIDA au Kenya occidental avec l’O.N.G. Teach a Child Africa et il enseigne aussi à des étudiants de baccalauréat en philosophie, politique et économie à Oxford.

Avani Bansal était chercheuse détentrice de la bourse Roy Goode; elle faisait une maîtrise en droit au Linacre College d’Oxford. Elle s’intéresse dans ses études au droit constitutionnel, au droit environnemental et aux droit de l’Homme.

Shubhangi Bhadada étudiait le droit au St Hilda’s College d’Oxford. Elle s’intéressait au droit international public, au droit commercial et aux droits de l’Homme.

Vanya Vaidehi Bhargav étudiait l’Asie du sud au St Antony’s College d’Oxford. Elle a obtenu son baccalauréat en histoire et politiques à Oxford. Elle était intéressée par les questions du nationalisme hindou, des minorités religieuses et des castes en Inde.

Michèle Finck était doctorante en droit. Elle est particulièrement intéressée aux droits européen, comparatif et publique. Elle a un LL.M. de la EUI et un double diplôme en droits français et anglais au King’s College de Londres et à la Sorbonne.

Ayako Komine était doctorante en politique au New College d’Oxford. Sa recherche porte sur l’immigration et la nationalité au Japon. Elle a travaillé en tant que consultante en gestion avant son arrivée à Oxford.

Aisha Saad était doctorante en géographie politique à Christ Church, Oxford. Elle est diplômée de Chapel Hill à l’Université de la Caroline du Nord et elle a mené sa recherche sur la justice environnementale et le développement de l’équité au Moyen Orient, en Asie du sud et en Amérique latine.

Salumi Shimizu faisait une maîtrise en études japonaises modernes au St Antony’s College d’Oxford. Elle a un baccalauréat en arts libéraux internationaux et a travaillé pour une entreprise japonaise de marketing international avant de venir à Oxford.

Marcos Todeschini étudiait l’Amérique latine pour sa maîtrise au St Antony’s College d’Oxford. Il est détenteur d’un baccalauréat universitaire en journalisme et il a travaillé en tant que journaliste du monde des affaires pour des médias brésiliens et espagnols.

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Le Débat Sur La Liberté d'Expression est un projet de recherche du Programme Dahrendorf pour l'étude de la liberté au Collège St Anthony, Université d'Oxford.

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