L’an dernier, Anna Hazare, un indien militant contre la corruption âgé de 74 ans, avait entrepris une «grève de la faim à la mort» afin de faire pression sur le Gouvernement pour qu’il adopte une loi contre la corruption. La grève de la faim devrait-elle être protégée au titre de la liberté d’expression? Manav Bhushan et Katie Engelhart nous offrent des perspectives contrastées.